Je me souviens, c'était il y a 70 ans, déjà !
"Par réaction contre les exactions allemandes, par
désir d'échapper au S.T.O., par amour de la liberté et par souci de
l'indépendance nationale, le pays peu à peu se mobilise à nouveau contre
l'occupant. Il se dresse contre les nazis mais aussi contre Vichy, soumis aux
consignes et volontés allemandes". Robert Aron
Un peu plus d'an plus tard :
Aout 1944 –Les consignes de Leclerc sont limpides : « …. filez
sur Paris, entrez dans Paris, passez ou vous voudrez, dites aux Parisiens de ne
pas perdre courage, que demain matin la division toute entière sera dans Paris
».
Je peux dire : j'y étais, et j'avais un an :
2 commentaires:
C'est extraordinaire ! tu sembles trouver naturel de te trouver sur ce mastodonte... Le soldat qui te tient est-il de ta famille ?
Bises.
Je pense qu'à l'époque, on devait se sentir tous frères. Non le soldat n'est pas un membre de la famille, mais il fut accueilli comme tel, comme tous les soldats de la division Leclerc qui avançait, en passant devant chez nous, pour libérer Paris.
Enregistrer un commentaire